A ancrer dans mon coeur à l'encre indélébile...
J'ai le droit d'être heureuse.
Si je reconnais avoir pris le mauvais chemin, c'est désormais sur le bon que je me suis engagée.
Les mots sans l'action comptent, mais comptent moins.
Ce n'est pas du vide que j'ai en moi, mais bien un trop-plein.
Le stress, puis l'angoisse et la panique ont été mes compagnons sur la mauvaise route. Je ne leur en veux pas.
Les hôpitaux, les pompiers, les médicaments existent. C'est bien pour les gens qui en ont vraiment besoin.
Arrêter de confondre un mal de dos, un mal de ventre, les sensations de faim, de fatigue, d'inconfort, les courbatures avec les symptômes de l'angoisse. Renouer doucement avec toutes les sensations de mon corps... Laisser glisser...
Ne plus faire les choses en force.
Et ne plus me forcer.
Le soleil chauffe plus fort quand on accepte d'en accueillir les rayons sur sa peau.
De ma lente frustration naîtront mes plus grandes envies, mes plus belles réussites.
Je veux bien essayer d'être grande, au moins essayer, pour savoir, mais rester enfant dans mon coeur, toujours.
Tous mes mots, mes conseils ne sont que pure perte si la personne n'ouvre pas les yeux elle-même.
Mes souffrances sont légitimes. Elles font partie de la vie, de ma vie. Je suis à prendre comme ça.
Plus personne, à commencer par moi, ne me manquera plus jamais de respect.
Je suis en train de renaître à la vie, et même aveuglée, je commence à distinguer les plaisirs qu'elle peut m'apporter.
Envies, désirs, élans... Je ne vous repousserai plus, en attendant un jour meilleur, en attendant que les autres se soient servis d'abord.
Cultiver le bonheur d'être seule, de devenir mon amie.
Continuer d'apprendre à m'aimer.
Et à aimer les autres.
Si je reconnais avoir pris le mauvais chemin, c'est désormais sur le bon que je me suis engagée.
Les mots sans l'action comptent, mais comptent moins.
Ce n'est pas du vide que j'ai en moi, mais bien un trop-plein.
Le stress, puis l'angoisse et la panique ont été mes compagnons sur la mauvaise route. Je ne leur en veux pas.
Les hôpitaux, les pompiers, les médicaments existent. C'est bien pour les gens qui en ont vraiment besoin.
Arrêter de confondre un mal de dos, un mal de ventre, les sensations de faim, de fatigue, d'inconfort, les courbatures avec les symptômes de l'angoisse. Renouer doucement avec toutes les sensations de mon corps... Laisser glisser...
Ne plus faire les choses en force.
Et ne plus me forcer.
Le soleil chauffe plus fort quand on accepte d'en accueillir les rayons sur sa peau.
De ma lente frustration naîtront mes plus grandes envies, mes plus belles réussites.
Je veux bien essayer d'être grande, au moins essayer, pour savoir, mais rester enfant dans mon coeur, toujours.
Tous mes mots, mes conseils ne sont que pure perte si la personne n'ouvre pas les yeux elle-même.
Mes souffrances sont légitimes. Elles font partie de la vie, de ma vie. Je suis à prendre comme ça.
Plus personne, à commencer par moi, ne me manquera plus jamais de respect.
Je suis en train de renaître à la vie, et même aveuglée, je commence à distinguer les plaisirs qu'elle peut m'apporter.
Envies, désirs, élans... Je ne vous repousserai plus, en attendant un jour meilleur, en attendant que les autres se soient servis d'abord.
Cultiver le bonheur d'être seule, de devenir mon amie.
Continuer d'apprendre à m'aimer.
Et à aimer les autres.